chicco.distefano

Si j'avais a t'écrire
Mon ange, je te dirais
Combien tes doux sourires
Me laisse souvent muet

Et je te parlerais
De ta voix caressante
Son univers d'effets
Ses vertues bienfesantes

Je voudrais t'exprimer
De façon explicite
Pourquoi ton être entier
Mon amour s'y abrite

J'inventerais les mots
De la langue de mon coeur
Car ceux de mon cerveau
Ne sont a ta hauteur ..

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A comme l'amour que j'ai pour toi
B comme le bonheur dans tes bras
C comme mon coeur qui bat
D comme destinés l'un à l'autre
E comme l'envie d'être avec toi
F comme la flamme qui brûle en moi
G comme nos gestes tendres
H comme heureux ensemble
I comme tu es irrésistible
J comme nos joies partagées
K comme une kyrielle de baisers
L comme un lien qui nous relie
M comme la magie qui nous entoure
N comme nous deux, toi et moi
O comme ne m'oublie pas
P comme je pense à toi
Q comme ne me quitte pas
R comme notre rencontre
S comme ton sourire me charme
Tcomme toujours près de toi
U comme l'union de nos âmes
V comme une vie avec toi
W comme un week-end à deux
X comme tu es Xtraordinaire
Y comme tes yeux dans les miens
Z comme zeste de passion.
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Mon plus beau secret
Je ne veux pas le révéler
Ou plutôt je ne pouvais pas
Je voulais le garder


Mon secret est comme le feu
Un feu qui brûle en moi
Fais-en ce que tu veux
Mais surtout ne l'éteint pas
Mon secret cache ce que je dis


Car je l'avoue, j'ai menti
Je ne voulais le dire
ça me faisait souffrir

J'en assumais les conséquences
Mais je te fais confiance
Seulement écoute moi

Car mon secret il est pour toi
Le dire je ne le voulais pas
Mais il me cause tant de peine
Malgré ma volonté, mon orgueil
Malgré moi
Mon secret c'est que je t'aime
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Tu es venue à moi comme un rêve
Tu es venue à moi et sans prononcer trêve

Tout se mit à virevolter
Tout se mit à tourbillonner

On était ensemble, dans ce tourbillon
Où tu semblais être le centre du monde

Les secondes passaient, la tempête s'intensifiait
Les minutes passaient et tes plumes s'envolaient

Tes ailes déployées, tu me faisais signe de venir à toi
Tes yeux brillaient et mon cœur ne battait plus que pour toi

J'avançais lentement dans ta direction
Lorsque en un soupçon de temps

Un éclair te frappa, tu t'évaporas
Tu disparu et le maelström cessa

Mon cœur ne battait plus
Mon corps ne respirait plus

Je tombai dans le coma
Sans même comprendre ce qu'il se passa

Puis je réouvris les yeux
Puis je n'étais plus dans ces lieux

J'étais juste dans mon lit
De plein de souvenir j'étais emplis

De ton regard je rêve encore
Mais de ce monde tu ne fais pas partie.
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En cette douce nuit, le froid me sert fort dans ses bras
Il me console de mon chagrin, il me console de mon destin

Il est là, ici ou personne est, ici ou personne est parvenu
Il est là et comble la brèche de mon cœur déchu.

Il emplit mon moteur à sentiment de sa froideur éternel
Et sèche mes larmes immortelles.

Il me fait oublier que je suis seul sous ce ciel étoilé
Il me fait oublier que d'un simple coup, mon âme s'est brisée.

Il me glace la vie, pour m'offrir à la mort
Il me gèle cette nuit, pour me faire oublier les remords.


Petite précision, ce texte n'est pas fini, l'inspiration s'est tout simplement évaporé. Merci de prendre en compte ce petit détail. Qui sait, peut être qu'un jour, je le retravaillerais..
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 Solitude [#17]
Dans les méandres de ma solitude
Aux portes de l'inexactitude.

Mon corps titube dans ces couloirs sombres
Dénués de toutes ombres, coupés du monde

J'erre dans l'obscurité de l'Être
Sans savoir d'où me viens ce mal être

Ces lieux sombres et froids me tiennent compagnie
Ces lieux sans foi ni loi où je règne en tant que roi

Est-ce le devenu de ma vie ?
Ou bien serait-ce le fruit de mon envie ?

La grisaille des murs se rie de mon marasme
Qui m'étouffe comme une crise d'asthme

La quiétude de cette endroit ronge mon esprit
La solitude et le calme démembre ma vie.

Loin de savoir que je demeure dans le royaume de la tristesse
J'avance un peu plus chaque jour, sans me soucier de mon ivresse

Le bruit de mes pas résonne là où elle seule est présente
Le bruit de mes pas résonnent là où elle seule est absente

Ignorant le temps restant, je préfère me faire absent, dans tout ce sang
J'espère qu'il coloriera les murs du temps et qu'il ne me fera oublier mon Amour d'antan.
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